/
/
/
Pour qui les Psychothérapies ?
Tout le monde peut avoir besoin d’un psy au cours de son existence. La pratique est loin
d'être réservée aux insensés. Il est moins coûteux en temps et en argent d’aller consulter de manière à établir ou à rétablir une certaine cohérence avec soi-même, que de laisser les évènements
de la vie agir sur son destin et de le subir. Je ne suis pas responsable de celui que je suis, mais de celui que je vais devenir. Cessez de demeurer une énigme pour vous-même dès lors que
celle-ci occasionne en vous de pénibles sources de préoccupations anxieuses ou dépressives.
Les psychothérapies, qu’elles soient brèves (de type systémique, gestaltique, comportementaliste), ou longues (orientation psychanalytique), peuvent s’attaquer à la dépression, aux angoisses, aux phobies, aux traumatismes, au tabagisme, à l'alcoolisme, aux troubles de la sexualité, à l'insomnie, à la boulimie, à l'anorexie dont peut souffrir un individu ; avec une efficacité qui variera en fonction de l'implication du patient, de sa symptomatologie (manifeste et latente), de sa personnalité, et de ses objectifs.
Les thérapies brèves se pratiquent sur un trimestre environ, à raison d’une séance par semaine. Il s’agit de résoudre dans le présent un problème que l’on ne veut plus rencontrer dans le futur. On ne s’attarde pas longuement sur l’origine de la souffrance, on ne cherche pas non plus à donner un sens profond et historique à la psychopathologie présente. On s’intéresse plutôt à dénouer un conflit ici et maintenant, entre les membres d’une famille, à l’intérieur d’un couple, ou encore à un niveau individuel. La phobie des araignées par exemple, celle des avions, ou des endroits clos, la gestion des émotions, leur expression, ou leur mise à distance seront généralement traitées efficacement avec une thérapie brève ; de même la timidité, le manque de confiance, et les difficultés d’affirmation qu'éprouvent certaines personnes.
On ne traitera pas de la même manière une individualité qui souffre d'un deuil, d'une séparation, d'une névrose d’échec, d'une maladie grave ou d'un profond trauma qui remonte à la prime enfance. Dans ces situations les thérapies brèves ne sont plus appropriées, parce que la quête du sens y est trop indispensable. La compréhension et la réappropriation de l'histoire du patient par lui-même priment sur la symptomatologie présente pour entrevoir une issue positive. Une psychothérapie plus longue d'inspiration psychanalytique sera proposée.
Dépression saisonnière, dépression suite à une grossesse, ou encore liée à la perte d'un être cher. Dépression engendrant un problème d’alcoolisme, dépression qui anesthésie, dépression blanche, sans autre symptôme que la perte du goût de la vie. Insomnie, hypersomnie, négligence générale. Dépression suite à une rupture de communication dans le couple. Ces diverses formes de dépression touchent près du quart de la population française à un moment de l'existence. En somme une chose courante, presque normale, une étape de la vie que le psychothérapeute peut vous aider à comprendre et à accepter, pour vous en libérer plus rapidement dans un second mouvement.
La dépression résulte d’une souffrance, elle-même le produit d’une frustration initiale. Il s’agira en psychothérapie de remonter la chaîne, le filon psychopathogène jusqu’à la source, pour modifier les représentations négatives qui y sont associées ; tout en incitant le patient à ne surtout pas renoncer à sa vie sociale et professionnelle, car l’isolement et l’inaction auxquels pousse la dépression est redoutable d’efficacité pour renforcer un sentiment dépressif.
Rien d’impossible donc mais une question d’implication de la part du patient. On «n’achète pas» sa santé mentale. On ne la recouvre pas de manière passive comme on achèterait une crème pour un coup de soleil, comme on passerait au bloc opératoire pour une appendicite. La participation active du patient est nécessaire et requise en psychothérapie.
Les psychothérapies, qu’elles soient brèves (de type systémique, gestaltique, comportementaliste), ou longues (orientation psychanalytique), peuvent s’attaquer à la dépression, aux angoisses, aux phobies, aux traumatismes, au tabagisme, à l'alcoolisme, aux troubles de la sexualité, à l'insomnie, à la boulimie, à l'anorexie dont peut souffrir un individu ; avec une efficacité qui variera en fonction de l'implication du patient, de sa symptomatologie (manifeste et latente), de sa personnalité, et de ses objectifs.
Les thérapies brèves se pratiquent sur un trimestre environ, à raison d’une séance par semaine. Il s’agit de résoudre dans le présent un problème que l’on ne veut plus rencontrer dans le futur. On ne s’attarde pas longuement sur l’origine de la souffrance, on ne cherche pas non plus à donner un sens profond et historique à la psychopathologie présente. On s’intéresse plutôt à dénouer un conflit ici et maintenant, entre les membres d’une famille, à l’intérieur d’un couple, ou encore à un niveau individuel. La phobie des araignées par exemple, celle des avions, ou des endroits clos, la gestion des émotions, leur expression, ou leur mise à distance seront généralement traitées efficacement avec une thérapie brève ; de même la timidité, le manque de confiance, et les difficultés d’affirmation qu'éprouvent certaines personnes.
On ne traitera pas de la même manière une individualité qui souffre d'un deuil, d'une séparation, d'une névrose d’échec, d'une maladie grave ou d'un profond trauma qui remonte à la prime enfance. Dans ces situations les thérapies brèves ne sont plus appropriées, parce que la quête du sens y est trop indispensable. La compréhension et la réappropriation de l'histoire du patient par lui-même priment sur la symptomatologie présente pour entrevoir une issue positive. Une psychothérapie plus longue d'inspiration psychanalytique sera proposée.
Dépression saisonnière, dépression suite à une grossesse, ou encore liée à la perte d'un être cher. Dépression engendrant un problème d’alcoolisme, dépression qui anesthésie, dépression blanche, sans autre symptôme que la perte du goût de la vie. Insomnie, hypersomnie, négligence générale. Dépression suite à une rupture de communication dans le couple. Ces diverses formes de dépression touchent près du quart de la population française à un moment de l'existence. En somme une chose courante, presque normale, une étape de la vie que le psychothérapeute peut vous aider à comprendre et à accepter, pour vous en libérer plus rapidement dans un second mouvement.
La dépression résulte d’une souffrance, elle-même le produit d’une frustration initiale. Il s’agira en psychothérapie de remonter la chaîne, le filon psychopathogène jusqu’à la source, pour modifier les représentations négatives qui y sont associées ; tout en incitant le patient à ne surtout pas renoncer à sa vie sociale et professionnelle, car l’isolement et l’inaction auxquels pousse la dépression est redoutable d’efficacité pour renforcer un sentiment dépressif.
Rien d’impossible donc mais une question d’implication de la part du patient. On «n’achète pas» sa santé mentale. On ne la recouvre pas de manière passive comme on achèterait une crème pour un coup de soleil, comme on passerait au bloc opératoire pour une appendicite. La participation active du patient est nécessaire et requise en psychothérapie.
Partager cette page
