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La Graphologie
L’informatique n’est pas encore venue à bout de notre écriture. Son analyse peut paraître
invraisemblable, farfelue, irrationnelle aux yeux des profanes, comme aux yeux de ses détracteurs, et pourtant l’analyse graphologique révèle bel et bien un ensemble de données sérieuses et
pertinentes sur la nature et sur la complexité psychologique de chacun d'entre nous.
Son problème, c’est que nous ne sommes pas égaux devant elle. Il est en effet des écritures qui "parlent" plus que d’autres sur la personnalité, l’activité et les aptitudes intellectuelles de leur scripteur. C’est un peu la même chose lors d’un entretien au travers duquel certains hommes et certaines femmes se livrent plus que d’autres.
1. Une analyse graphologique déclinée en 3 ou 4 parties
- La première interroge et qualifie la dimension intellectuelle, le type d’intelligence, les aptitudes naturelles ou acquises, les facilités mais aussi les difficultés qui relèvent du «cérébral» chez le scripteur.
- La deuxième partie analyse le type d’activité dispensée de manière préférentielle et récurrente par le scripteur dont il est question. Ce qui motive sa force de travail, son intensité, son plaisir à partager, à déléguer, ou encore son besoin de produire dans un certain isolement, son rythme de travail, sa cadence, etc.
- La troisième partie tente quant à elle de définir le comportement du scripteur. Sa socialité, sa personnalité, sa capacité d’adaptation, le contrôle de son émotivité, ses capacités à communiquer, à transmettre son savoir, sa ponctualité, sa rigueur, sa constance, sa franchise, etc.
- La quatrième et dernière partie qui reste facultative, interroge l’arrière-plan, les motivations profondes du scripteur ; d’où viennent son énergie, ses inhibitions, ses ambitions, sa susceptibilité, sa sensibilité, la force ou la faiblesse de ses convictions. Bref elle interroge les éléments prégnants de son passé, perceptibles dans l’analyse de son écriture, qui demeurent moteurs, et qui conditionnent ses motivations ici et maintenant.
2. Une analyse graphologique présentée sous trois formats
- Un format flash (une page), elle traite des trois premières parties présentées ci-dessus.
- Un format standard (deux pages) reprenant les trois mêmes parties mais en les approfondissant.
- Et enfin un format détaillé qui inclut la quatrième partie : l’arrière-plan ( 3 à 4 pages suivant la pertinence des signes graphiques ).
3. Dans quels cas utilise-t-on la Graphologie
- L’étude des signes graphiques permet d’établir ici et maintenant le portrait psychologique d’une subjectivité, en soulignant les traits constitutifs de sa personnalité, les lignes de force qui la parcourent, qui la définissent, et par lesquelles cette personne s’exprime de manière générale au monde.
- L’analyse graphologique peut également servir de support lors d'un coaching personnel afin d’analyser certains aspects du comportement qu’il serait bon de modifier, soit par renforcement, ou accentuation, soit par atténuation.
- La graphologie enfin prend part au bilan psychologique, lequel se compose le plus souvent pour les adultes et les adolescents : d’une analyse graphologique, d’une batterie de tests adaptée à ce que l’on recherche, et de deux entretiens. Trois supports valant toujours mieux qu’un seul pour établir un tel examen.
Son problème, c’est que nous ne sommes pas égaux devant elle. Il est en effet des écritures qui "parlent" plus que d’autres sur la personnalité, l’activité et les aptitudes intellectuelles de leur scripteur. C’est un peu la même chose lors d’un entretien au travers duquel certains hommes et certaines femmes se livrent plus que d’autres.
1. Une analyse graphologique déclinée en 3 ou 4 parties
- La première interroge et qualifie la dimension intellectuelle, le type d’intelligence, les aptitudes naturelles ou acquises, les facilités mais aussi les difficultés qui relèvent du «cérébral» chez le scripteur.
- La deuxième partie analyse le type d’activité dispensée de manière préférentielle et récurrente par le scripteur dont il est question. Ce qui motive sa force de travail, son intensité, son plaisir à partager, à déléguer, ou encore son besoin de produire dans un certain isolement, son rythme de travail, sa cadence, etc.
- La troisième partie tente quant à elle de définir le comportement du scripteur. Sa socialité, sa personnalité, sa capacité d’adaptation, le contrôle de son émotivité, ses capacités à communiquer, à transmettre son savoir, sa ponctualité, sa rigueur, sa constance, sa franchise, etc.
- La quatrième et dernière partie qui reste facultative, interroge l’arrière-plan, les motivations profondes du scripteur ; d’où viennent son énergie, ses inhibitions, ses ambitions, sa susceptibilité, sa sensibilité, la force ou la faiblesse de ses convictions. Bref elle interroge les éléments prégnants de son passé, perceptibles dans l’analyse de son écriture, qui demeurent moteurs, et qui conditionnent ses motivations ici et maintenant.
2. Une analyse graphologique présentée sous trois formats
- Un format flash (une page), elle traite des trois premières parties présentées ci-dessus.
- Un format standard (deux pages) reprenant les trois mêmes parties mais en les approfondissant.
- Et enfin un format détaillé qui inclut la quatrième partie : l’arrière-plan ( 3 à 4 pages suivant la pertinence des signes graphiques ).
3. Dans quels cas utilise-t-on la Graphologie
- L’étude des signes graphiques permet d’établir ici et maintenant le portrait psychologique d’une subjectivité, en soulignant les traits constitutifs de sa personnalité, les lignes de force qui la parcourent, qui la définissent, et par lesquelles cette personne s’exprime de manière générale au monde.
- L’analyse graphologique peut également servir de support lors d'un coaching personnel afin d’analyser certains aspects du comportement qu’il serait bon de modifier, soit par renforcement, ou accentuation, soit par atténuation.
- La graphologie enfin prend part au bilan psychologique, lequel se compose le plus souvent pour les adultes et les adolescents : d’une analyse graphologique, d’une batterie de tests adaptée à ce que l’on recherche, et de deux entretiens. Trois supports valant toujours mieux qu’un seul pour établir un tel examen.
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